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Le Green Deal Sportdomeinen atteint sa vitesse de croisière - Keep it Green | FR
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Le Green Deal Sportdomeinen atteint sa vitesse de croisière

Le Green Deal Sportdomeinen atteint sa vitesse de croisière

Créer des méthodologies et techniques conformes au marché

Des infrastructures ou des espaces sportifs sûrs et de qualité sont essentiels pour que tout le monde puisse bouger et faire du sport aujourd’hui, mais aussi à l’avenir. Pour offrir cette opportunité aux générations futures, la Flandre doit tenir compte de l’impact environnemental, des besoins en ressources et de l’utilisation de l’espace au niveau sportif.

Le Green Deal Sportdomeinen, ou « pacte vert en matière de domaines sportifs », est une obligation de moyens entre les autorités et différents partenaires dans le but de contribuer à divers objectifs de durabilité dans le secteur du sport. Et c’est nécessaire, car la Flandre compte près de 10 000 domaines sportifs de plein air, couvrant plus de 17 500 hectares.

Un partage de connaissances

Le Green Deal Sportdomeinen (à ne pas confondre avec le Green Deal européen !) englobe des questions telles que la qualité des sols, la gestion efficace de l’eau des terrains de sport, la réduction des pesticides et l’intégration des espaces sportifs dans ce qui s’apparente à un réseau de nervures vertes et bleues. Les initiateurs du Green Deal Sportdomeinen sont Sport Vlaanderen et VMM (l’agence flamande de l’environnement) en tant qu’autorités publiques, ainsi que VSF (la fédération flamande du sport) et Netwerk Lokaal Sportbeleid en tant qu’organisations sectorielles. Avec des acteurs privés, ils partagent leurs connaissances concernant l’aménagement, l’entretien et l’utilisation de terrains de sport en plein air, tels que les terrains de football, les terrains de golf, les terrains en gravier ainsi que les terrains en gazon naturel ou en gazon artificiel. David Nassen, coordinateur du projet Green Deal Sportdomeinen : « Il est essentiel de savoir que ce pacte représente une ambition partagée. Nous sommes tous désireux d’avoir des domaines sportifs de qualité, mais avec un impact positif sur l’environnement. En termes d’approche, nous sommes résolument dans l’action. L’action entre les autorités (locales, flamandes et européennes) et les gens sur le terrain. Nous pensons ici aux gestionnaires d’infrastructures sportives, aux petits clubs, aux grandes associations, mais aussi aux entrepreneurs, aux concepteurs… qui innovent dans ce secteur et peuvent et veulent mettre en place des projets pilotes. De plus, le Green Deal Sportdomeinen couvre l’ensemble de l’écosystème de nos domaines sportifs : la verdure, l’eau, les produits, mais aussi toute la chaîne de conception, d’aménagement et de gestion. Nous créons ainsi de futures méthodes de travail économiquement viables dans le secteur. Ce faisant, nous développons de nouvelles méthodologies et techniques qui, à l’avenir, seront courantes et conformes au marché. »

Le Green Deal Sportdomeinen couvre l’ensemble de l’écosystème des domaines sportifs. La verdure, l’eau, les produits, mais aussi toute la chaîne de conception, d’aménagement et de gestion.

Une approche ascendante

Stefanie Pype, coordinatrice adjointe du projet Green Deal Sportdomeinen : « Quelques cas frappants ont déjà été mis sur pied. Farys – gestionnaire de domaines sportifs publics – et Krinkels effectuent notamment des tests avancés avec les robots désherbeurs de Milati. Il reste quelques ajustements à faire, mais voici peut-être la solution au fait que sur les terrains de sport, nous préférons ne pas voir de mauvaises herbes, mais nous n’avons pas (plus) le droit de les pulvériser. 

Ces désherbeurs reconnaissent certains types de mauvaises herbes et les enlèvent du sol de manière entièrement automatique. » 

« L’ERCAT (European Research Centre for Artificial Turf), une division de l’université de Gand, travaille également sur une balle de hockey spécialement développée. La Rewetta (du fabricant Makihn) est une balle de hockey autohumidifiante qui offre la même interaction sur un terrain sec que sur un terrain synthétique mouillé. 

Cela pourrait constituer une solution abordable à l’avenir pour les clubs de hockey amateurs qui souhaitent bénéficier de la meilleure expérience possible en matière de hockey. La nouvelle balle répond au souhait de la Fédération internationale de hockey (FIH) de ne jouer désormais que sur des terrains synthétiques secs. De nombreux tests sont déjà en cours. Ainsi, les défis climatiques sont abordés de manière innovante et ascendante, et certaines des solutions pourront certainement offrir de nombreuses possibilités à l’avenir. C’est en résumé l’objectif du Green Deal Sportdomeinen. »  

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